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Saint-Pétersbourg

est un port de Russie sur la Baltique.

Capitale impériale pendant 2 siècles, la ville fut fondée en 1703 par le tsar Pierre le Grand , immortalisé par la célèbre statue du Cavalier de bronze.

Demeurée le centre culturel de la Russie, la ville compte des établissements tels le théâtre Mariinsky, temple de l'opéra et de la danse, et le musée Russe, avec sa collection d'œuvres d'art russes, des icônes orthodoxes aux tableaux signés Kandinsky.

François Boucher, Cupidons : Allégorie de la peinture (Ermitage Saint-Pétersbourg)

(en russe : Государственный Эрмитаж, Gossoudarstvenny Ermitaj)

est un musée situé à Saint-Pétersbourg, au bord de la Neva.

Fondé en 1764, c'est le plus grand musée du monde en termes d'objets exposés (plus de soixante mille pièces dans près de mille salles tandis que près de trois millions d’objets sont conservés dans les réserves).

François Boucher, Cupidons : Allégorie de la peinture (Ermitage Saint-Pétersbourg)

Cupidons : Allégorie de la peinture

 

Dans la mythologie romaine, Cupidon (en latin : Cupido, inis, f qui signifie désir, amour ; en anglais contemporain : Cupid ; en allemand contemporain : Cupido), fils de Vénus et de Mars, est le dieu de l'amour.

C’est le serviteur très dévoué de sa mère comme on peut le constater dans le mythe de Psyché.

Cupidon est assimilé au dieu Éros qui semble être sa représentation grecque. Mais dans la tradition romaine, il n’appartient pas à une divinité primordiale contrairement à Éros.

Cupidon est souvent représenté sous la forme d’un ange. Ses attributs sont un arc, un carquois, une fleur et des ailes. Avec son arc, il envoie des flèches censées représenter les pointes du désir dans le cœur des dieux et des hommes. Selon la mythologie, quiconque est touché par les flèches de Cupidon tombe amoureux de la première personne qu'il voit à ce moment-là.

François Boucher, Cupidons : Allégorie de la peinture (Ermitage Saint-Pétersbourg)

L’allégorie est une figure de style d’analogie qui consiste à rendre concret un concept abstrait, généralement à l’aide d’une personnification. Une allégorie peut être développée dans une séquence descriptive, une partie de texte ou un texte complet.

François Boucher, Cupidons : Allégorie de la peinture (Ermitage Saint-Pétersbourg)

François Boucher

né le 29 septembre 1703 à Paris où il est mort le 30 mai 1770,

est un peintre français, représentatif du style rocaille français.

Maître particulièrement prolifique, Boucher a abordé tous les genres : peinture religieuse, sujets mythologiques, scènes rustiques, paysages, animaux, décorations de monuments et de maisons particulières, modèles de tapisserie.

C’est peut-être le plus célèbre peintre et artiste décoratif du XVIIIe siècle, dont on a pu dire qu’il était l’un des génies les plus purs.

Il estimait lui-même, un an avant sa mort, avoir produit plus de dix mille dessins, mais trouvait encore le temps de travailler dix heures par jour à des représentations idylliques et voluptueuses de thèmes classiques, mythologiques et érotiques, d’allégories décoratives et de scènes pastorales.

Il était peintre de la cour de Louis XV et le favori de la marquise de Pompadour, dont il a peint plusieurs portraits.

. Son style passa de mode avec l’arrivée du néoclassicisme. Il peignait avec grâce, mais on l’accuse d’avoir corrompu l’art et d’avoir introduit un genre fade et maniéré.

Portrait de François Boucher

par Lundberg, peintre pastelliste et portraitiste rococo suédois, né le 17 aout 1695 à Stockholm où il est mort le 18 mars 1786.
Pastel de 1741, Paris, musée du Louvre.

 

Tag(s) : #Ermitage Saint-Pétersbourg
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