Amiens
est la préfecture de la région de Picardie, département de la Somme et chef-lieu de canton.
Commune la plus peuplée de la région, Amiens était en 2008 la vingt-huitième ville de France.
Surnommée la petite Venise du Nord en raison des nombreux canaux qui la traversent et des
hortillonnages (ensemble de jardins flottants couvrant 300 hectares), Amiens offre un riche patrimoine et des quartiers pittoresques, témoins d’une histoire qui a débuté il y a plus de 2000 ans.
Depuis 1992, le label Ville d'Art et d'Histoire récompense la protection et la mise en valeur de ce patrimoine d’exception.
De gueules au lierre d'argent, au chef d'azur semé de fleurs de lis d'or
Amiens, ville forteresse, a subi des assauts et y a résisté pour rester française. Ses armoiries symbolisent cet
attachement à la France, attachement symbolisé par le lierre, la France étant symbolisée par le semis de fleurs de lis autorisé par les rois de France.
Devise : Liliis tenaci vimine jungor ce qui signifie Un lien puissant m'unit au lis.
Le musée de Picardie
est un musée d'art et d'archéologie situé à Amiens. Il regroupe de riches collections qui vont de la Préhistoire au XXe siècle, notamment en
archéologie et en peinture.
Véritable
palais, le bâtiment a été spécifiquement conçu, ce qui, à l'époque, était une véritable innovation, pour être un musée accueillant les collections régionales d'antiquités et des œuvres
d'art.
Dans les évangiles synoptiques (Marc, Matthieu et Luc) et le livre des Actes des Apôtres, ainsi que dans une fin ajoutée à l'Evangile de Jean, Jean, fils de Zébédée, apparaît dans les premiers de la liste des douze apôtres avec son frère Jacques dit le Majeur.
Fête le 27 décembre.
Jean, fils de Zébédée, un des premiers appelés par le Seigneur, il fut, avec son frère Jacques et avec Pierre, témoin de sa transfiguration et de sa passion, et il reçut de lui, au pied de la croix, Marie pour mère. Dans l’Evangile et les lettres qui portent son nom, il se présente comme le théologien qui a pu contempler la gloire du Verbe incarné et qui annonce ce qu’il a vu.
Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie après la mort du Christ, qu'il y écrivit le quatrième évangile. Un séjour à Patmos fut l'occasion d'une révélation qui devint l'Apocalypse. Enfin, lorsqu'il fut vieux, il ne sut que répéter sans cesse l'essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir: "Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres."
Jean aurait été amené d'Ephèse à Rome, chargé de fers, sous l'empereur Domitien. Il fut condamné par le sénat à être jeté dans l'huile bouillante. Cette condamnation fut exécutée devant l'actuelle Porte Latine. Il en sortit plus frais et plus jeune qu'il n'y était entré. Le fait n'est pas prouvé, mais il fallait bien que saint Jean soit venu à Rome, comme Pierre et Paul.
Après la mort de Domitien en l'an 96, l'empereur Nerva permit à Jean de revenir à Ephèse. Il serait mort à Ephèse en l'an 101, à l'âge d'environ quatre-vingt-dix ans.
Dans les évangiles synoptiques (Marc, Matthieu et Luc) et le livre des Actes des Apôtres, ainsi que dans une fin ajoutée à l'Evangile de Jean, Jean, fils de Zébédée, apparaît dans les premiers de la liste des douze apôtres avec son frère Jacques dit le Majeur.
Fête le 27 décembre.
Jean, fils de Zébédée, un des premiers appelés par le Seigneur, il fut, avec son frère Jacques et avec Pierre, témoin de sa transfiguration et de sa passion, et il reçut de lui, au pied de la croix, Marie pour mère. Dans l’Evangile et les lettres qui portent son nom, il se présente comme le théologien qui a pu contempler la gloire du Verbe incarné et qui annonce ce qu’il a vu.
Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie après la mort du Christ, qu'il y écrivit le quatrième évangile. Un séjour à Patmos fut l'occasion d'une révélation qui devint l'Apocalypse. Enfin, lorsqu'il fut vieux, il ne sut que répéter sans cesse l'essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir: "Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres."
Jean aurait été amené d'Ephèse à Rome, chargé de fers, sous l'empereur Domitien. Il fut condamné par le sénat à être jeté dans l'huile bouillante. Cette condamnation fut exécutée devant l'actuelle Porte Latine. Il en sortit plus frais et plus jeune qu'il n'y était entré. Le fait n'est pas prouvé, mais il fallait bien que saint Jean soit venu à Rome, comme Pierre et Paul.
Après la mort de Domitien en l'an 96, l'empereur Nerva permit à Jean de revenir à Ephèse. Il serait mort à Ephèse en l'an 101, à l'âge d'environ quatre-vingt-dix ans.