Bénouville
est une commune, située dans le département du Calvados, région Basse-Normandie.
De sable au chevron d'or accompagné, en chef à dextre, d'un croissant d'argent et, à senestre, d'une étoile de six rais aussi d'or et, en pointe, d'un lion du même lampassé de gueules.
Bénouville fut la première cible du débarquement allié.
Le major John Howard atterrit avec ses trois planeurs à 00h20 (mais 23h20 heure anglaise, ce qui explique que Bénouville ait une place du 5 juin 1944 et non une place du 6 juin 1944). Le major Howard dirige 180 hommes avec lesquels il prend le Pegasus Bridge.
Le pont a été reconstruit en 1994 fidèle à sa forme initiale, mais légèrement plus grand. L'ancien pont est conservé au musée, à quelques dizaines de mètres du nouveau dans un site inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (SI, 06/10/1972)
Simon Christopher Joseph Fraser
dit Lord Lovat
(9 juillet 1911 – 16 mars 1995, DSO, MC, TD),
15e lord Lovat (aussi connu comme le 17e) et 4e baron Lovat,
général de brigade, fut le commandant de la Première brigade spéciale durant la Seconde Guerre mondiale.
Il débarque le matin du 6 juin à la tête de la "Special Service Brigade", dans lequel se trouve les 177 français du premier bataillon de fusiliers marin commando du Commandant Philippe Kieffer. Il débarque sur la plage qui porte le nom de code "Sword Beach", aux alentours de Ouistreham. Il a osé apporter une cornemuse pour encourager ses braves !
C'est un seigneur des Highlands en gilet de daim dont la famille jadis possédait une armée privée de mille hommes, un gentleman qui plaide pour la mort dans la dignité. Sa mission est d'allé relever le major John Howard, parachuté dès minuit sur le pont de Bénouville.
Bill Millin,
connu sous le surnom de Piper Bill,
né le 14 juillet 1922 à Regin au Saskatchewan (Canada) et mort le 17 août 2010 à Torquay,
est un soldat britannique. Il était le joueur de cornemuse personnel de Lord Lovat, commandant de la 1re Brigade spéciale britannique le Jour J, lors du débarquement de Normandie.
L'association pour la sauvegarde du site et le maintien du souvenir, Aspeg, Musée de Pegasus Bridge est en litige avec le Comité du débarquement depuis 2000,