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Mantes-la-Jolie

est une commune française, chef-lieu d'arrondissement du département des Yvelines, dans la région Île-de-France.

C'est une ville moyenne, située sur la rive gauche de la Seine, à 57 km à l'ouest de Paris.

Blason de Mantes-la-Jolie

Mi-parti, au premier d'azur à la fleur de lys d'or, au second d'or au chêne arraché de sinople englanté du champ

Musée de l'Hôtel-Dieu

Maximilien Luce, Gare de l'Est, Les poilus (Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie)

Gare de l'Est, Les poilus

Poilu est le surnom donné aux soldats de la Première Guerre mondiale qui étaient dans les tranchées. Ce surnom est typique de cette guerre et ne fut utilisé qu'en de rares et exceptionnels cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

Maximilien Luce, Gare de l'Est, Les poilus (Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie)

Le mot poilu désignait aussi à l’époque dans le langage familier ou argotique quelqu'un de courageux, de viril (cf. par exemple l'expression plus ancienne un brave à trois poils, que l'on trouve chez Molière, de même les expressions avoir du poil et avoir du poil aux yeux) ou l'admiration portée à quelqu'un qui a du poil au ventre.

Dans son ouvrage L'Argot de la guerre, d'après une enquête auprès des officiers et soldats, Albert Dauzat donne la même explication :

Avant d'être le soldat de la Marne, le poilu est le grognard d'Austerlitz, ce n'est pas l'homme à la barbe inculte, qui n'a pas le temps de se raser, ce serait trop pittoresque, c'est beaucoup mieux : c'est l’homme qui a du poil au bon endroit, pas dans la main ! C'est le symbole de la virilité.

Maximilien Luce, Gare de l'Est, Les poilus (Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie)

Gare de l'Est sous la neige

La gare de Paris-Est, dite aussi gare de l'Est (initialement appelée gare de Strasbourg), est l'une des six grandes gares terminus du réseau de la SNCF à Paris. Elle se trouve dans le quartier Saint-Vincent-de-Paul, dans le Xe arrondissement, non loin de la gare du Nord. Sa façade ferme la perspective de l'axe nord-sud percé par le baron Haussmann, préfet de la Seine, et constitué principalement par le boulevard de Strasbourg.

Maximilien Luce, Gare de l'Est, Les poilus (Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie)

 

Maximilien Luce, Gare de l'Est, Les poilus (Musée de l'Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie)

Maximilien Luce

Maximilien Luce né à Paris le 13 mars 1858 et mort dans le VIe arrondissement de Paris le 7 février 1941 est un peintre, graveur et affichiste français.

Autoportrait de Maximilien Luce vers 1925-1930.

Militant libertaire, il produit de nombreuses illustrations engagées politiquement. 

Son premier tableau connu date de 1876.

À partir de 1885, et durant une quinzaine d'années, il s'inscrit dans le mouvement néo-impressionniste : il use de la technique du divisionnisme (ou pointillisme), développée par Georges Seurat. Il revient par la suite à une facture plus classique, mais qui garde l'harmonie et la luminosité de sa première période.

Tag(s) : #Mantes-la-Jolie
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